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lundi 29 janvier 2018

PRÉCÉDEMMENT, À OPIO


C’est devenu n’importe quoi ce blog, la chronologie des articles est un peu désordonnée mais l’auteur a un peu de mal à trouver le temps de narrer ses péripéties en temps réel.

Ainsi, préalablement à mon escapade parigo-chaumontoise, c’est à Opio que je suis allé allonger les foulées à l’occasion du traditionnel championnat départemental de cross.

Les courses du championnat en lui-même étant réservées aux coureurs ayant souscrit une licence dite « compétition », c’est au départ du cross pour tous, ouvrant la journée que les licenciés dits « loisir » se sont engagés.

Certes nous connaissions parfaitement le site d’Opio, qui est depuis plusieurs années le théâtre de ces championnats, mais le cross pour tous permet en principe de repérer tous les obstacles et risques du parcours. Attention au terrain lourd au bout du champ, risque de glissade au départ, juste avant la bosse.

Mais ce jour-là, mes informations n’étaient plus d’aucune utilité à l’équipe peillonnaise défendant son titre de championne départementale tant la météo avait changé et les indications étaient désormais un risque de glissade sur l’ensemble du parcours en raison des trombes d’eau que s’y déversaient !

L’équipe cependant a vaillamment couru sans pour autant réaliser le doublé en cédant son titre aux cannoises et ce n’est pas sans humour que je suis allé féliciter mon homologue, ô combien plus expérimenté que moi dans le domaine puisqu’il fut mon premier entraîneur en… 2002 !

Cette fois encore, les peillonnais ont fait le maximum dans les différentes courses pour donner le meilleur d’eux-mêmes obtenant ainsi des résultats tout ce qu’il y a de plus satisfaisant et avec pour la première fois en championnat la participation de l’Académie Courir à Peillon dans les courses enfants.





dimanche 28 janvier 2018

DE CHAUMONT À PARIS


Que faire à Chaumont (Haute-Marne) en janvier ?

En ce qui me concerne, je n’avais jamais mis les pieds dans cette bourgade champenoise avant ce 19 janvier 2018 et cela ne se reproduira sans doute plus.

Ce jour-là, et c’était bien le but de mon voyage, se déroulait la cérémonie de remise des galons de la 484e promotion d’élèves-gendarme de l’école chaumontoise.

Le chiffre 484 a une belle symétrie et on voit d’un seul coup d’œil qu’il est multiple de onze, ceux qui ont eut besoin de vérifier sur une calculatrice ont découvert amusé que c’est mon département de naissance (lui-même multiple de onze) que l’on a multiplié par onze.

Mais je me battrais assez volontiers les rouflaquettes autant que je m’en lisserais les bretelles de cette 484e promotion si mon fils aîné n’en était pas un des récipiendaires.

Ainsi, Daniel devenait officiellement sous-officier de gendarmerie après huit mois de formation qui faisaient suite à une formation initiale à Tulle (Corrèze) et une première affectation à Mions (Rhône).

Il rejoint dès demain sa nouvelle brigade d’affectation à L’Union (Haute-Garonne).




Que faire ensuite à Chaumont (Haute-Marne) en janvier quand il pleut et que quelques flocons virevoltent ?

Rien. Si ce n’est aller acheter un jeu de tarot acheté au dernier instant car oublié pour la dixième fois par mes fils et moi et allez avec les dits fils dans un édifice dédié au divertissement et à la consommation de boissons (bar ou salon de thé par exemple).


Que faire le lendemain à Chaumont (Haute-Marne) en janvier quand il pleut, que quelques flocons virevoltent, et que les fils susdits repartent ?

Rien toujours. J’ai donc rendu le gîte de campagne, très agréable au demeurant, un jour avant le délai prévu, restitué le véhicule de location avec la même anticipation et prit un train pour la capitale.
À Paris, dont le zouave du Pont de l’Alma ne faisait pas encore la une de tous les journaux télévisés, j’ai passé une soirée solitaire dans un théâtre.

La pièce « Fausse note », magnifiquement interprétée par Christophe Malavoy et Tom Novembre, est un thriller psychologique entre un chef d’orchestre renommé et un admirateur intrusif et dérangeant. Quel secret porte cet admirateur ? Qui est-il vraiment ? Et surtout que veut-il ?

Le dimanche matin à Paris étant autant pluvieux qu’à Chaumont, est tandis que quelques amis azuréens me narguaient en publiant des photos et des informations météorologiques printanières, j’abandonnais l’idée d’un footing matinal sur les bords de Seine pour une salle de cinéma.

mardi 9 janvier 2018

À NICE EN VÉLO

Si à Paris en vélo on dépasse les autos à l’en croire une vieille chansonnette, à Nice, le plus difficile est de trouver un vélo libre-service, ici nommé Vélo Bleu, en bon état.

J’utilise très régulièrement ce service, plus écologique, propice à l’activité physique, moins coûteux que les transports en commun (vingt-cinq euros par an d’abonnement et des utilisations de moins de trente minutes gratuites).

Moins coûteux évidemment que la voiture pour qui n’a pas de parking si on tient compte des frais de carrosserie d’artistes anonymes et des multiples contraventions pour « stationnement très gênant », motif unique et systématique au tarif de cent trente-cinq euros, dont le quartier Saint-Roch est, dit-on, abonné grâce au zèle exagéré de quelques fonctionnaires de police.

Pourtant, j’ai constaté sur mes vingt-cinq dernières utilisations pas moins de seize dysfonctionnements du Vélo Bleu !

Le 15 août : Restitution rue Figheira, la première borne ne s’allume pas, la deuxième reste bloquée sur « chargement en cours », les autres bornes sont complètes. Stade Vauban, la clé n’entre pas dans la première borne.

Le 10 septembre : Place Masséna, la roue est voilée sur le premier vélo, le dérailleur saute sur le deuxième

Le 16 septembre : pas moins de trois stations pour trouver un vélo disponible et en bon état.

La liste est longue des bornes qui ne démarrent pas, des mentions « restitution impossible », « pas de réseau ». Des vélos cassés, abîmés, des pneus crevés, des freins cassés, des dérailleurs défaillants. Des stations pleines lors des restitutions ou à l’inverse des stations sans vélo disponible au moment des locations. De long temps d’attente de connexion des bornes.

Pour avoir utilisé où m’être renseigné sur les vélos libre-service d’autres grandes villes, il semble que le maintien en bon état d’un parc est possible. Probablement est-ce également moins onéreux que des décorations de Noël à Nice (pour mémoire une facture de 900 000 € en 2017, plus que Marseille et Paris) !


Dans les prochaines semaines, un service de scooter libre-service sera mis en place dans la Métropole azuréenne, encore faudrait-il que les deux roues non motorisés soient efficaces avant de proposer une nouvelle offre. 





lundi 8 janvier 2018

SAUVER OU PÉRIR

Lorsque j’étais enfant, cette inscription « SAUVER OU PÉRIR » sur l’insigne de pompiers m’impressionnait. Aujourd’hui elle prend tout son sens avec deux récentes tragédies chez les soldats du feu.

En Savoie, lors d’un sauvetage dans le cadre de la tempête Éleanor, un pompier volontaire de 63 ans est tombé à l’eau, son corps a été retrouvé le lendemain.

Dans le Pas-de-Calais, deux pompiers ont péri dans l’incendie d’une maison sans pouvoir sauver les deux adolescents qui se trouvaient prisonniers des flammes.


Toute ma compassion et mon soutien vont à ces hommes et femmes courageux dont la vocation remonte souvent à la plus tendre enfance, ainsi qu’à celles et ceux qui projettent aujourd’hui d’y consacrer leur vie.



Photos AFP (P.HUGHUEN)


dimanche 7 janvier 2018

PROM’CLASSIC 2018

C’est le rendez-vous traditionnel de début d’année sur la Côte d’Azur, malgré un dossard toujours aussi cher, une organisation toujours aussi impersonnelle et froide et des mesures de sécurité que l’on peut qualifier désormais « à la niçoise » c’est-à-dire aussi lourde qu’exagérée. Mais bon, tout cela n’est que mon avis et je le partage volontiers avec moi-même.

Pour autant, la Prom’Classic, de retour sur la Promenade des Anglais après un épisode sur la voie rapide, est un rendez-vous traditionnel pour les coureurs azuréens, permettant d’évaluer le niveau de forme après les marathons d’automne et/ou les fêtes de fin d’année.

Ce matin, la pluie un temps prévu a cédé sa place au vent rendant la deuxième partie de course particulièrement difficile à tel point que les entraîneurs doivent prendre le temps intermédiaire à la mi-course pour avoir une idée du niveau de forme des athlètes sur dix kilomètres !

Malgré les grippes, gastro-entérites et autres bobos, Courir à Peillon présentait une trentaine de coureurs valides avec des résultats très satisfaisants, quelques records individuels (malgré le vent) et des sourires à l’arrivée ce qui vaut tout l’or du monde.


Pour ma part, trente-et-unième dix kilomètres et onzième Prom’Classic, (record personnel en 2013 en 40’52’’) aujourd’hui 44’52’’ dont 21’30’’ sur les cinq premiers kilomètres et 23’22’’ sur les cinq suivants. Saleté de vent ! C’est plutôt correct conclurai-je avec autosatisfaction.

Félicitations particulières pour Dorothée, Olivia, Anne-Marie et Emmanuelle (sympathisante du club).

Comme le veut l'usage, nous avons ensuite narré nos exploits devant un petit noir en terrasse.



mercredi 3 janvier 2018

RENDEZ-VOUS, NICE

Samedi 6 janvier de 10 heures à 13 heures, Manon VERMERSCH et moi-même dédicacerons nos livres et rencontrerons nos lecteurs, Presse du Boulevard, 22 boulevard Saint-Roch à NICE. 

Venez nombreux !