BIENVENUE SUR MON BLOG

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samedi 27 février 2016

OURAGAN


C’est la tempête sur la Nouvelle-Orléans, celle que les anciens et les animaux sentent venir, celle que l’on fuit laissant derrière soit sa maison et les misérables.

Dans ce chaos, quelques personnes ressentent des sentiments inattendus. La liberté, l’amour, le doute, la force.

Comme à son habitude, Laurent GAUDÉ décrit avec talent l’homme dans son invraisemblance tant dans sa grandeur que dans sa bestialité.

Laurent GAUDÉ, une fois encore nous secoue dans ce roman magnifique.






ACTES SUD, ISBN 978-2-330-02321-8

  

mercredi 24 février 2016

RENDEZ-VOUS, VENCE

Le Samedi 27 février, à partir de 10 heures 30, les auteurs des Editions Valrose, Coralie FOLLONI, Manon VERMERSCH et moi-même, dédicaceront leurs livres à l'Espace culturel Leclerc de Vence, 195 Place du Grand Jardin.

Venez nombreux

dimanche 14 février 2016

William Sheller : Le nouveau monde

A l'occasion des Victoires de la Musique 2016, Véronique Sanson, Jeanne Cherhal et Louanne (que j’apprécie moins, disons le), rendaient hommage à William Sheller.

L'homme notoirement ému reprenait ensuite "Un homme heureux".

Pour ne pas être en reste, je vous propose de redécouvrir cette chanson de 1987, "Le nouveau monde", où il est question d'un amour inaccessible.

Ce sont des déboires qui arrivent, celui-ci est exprimé avec talent :

"Vous qui restez si bien de glace
Souffrez que mes mots dépassent
Le peu de raison que je tienne
Quand vous laissez ma peine
En disgrâce"





Paroles et musiques de William Sheller (1987)
Clip extrait de "La légende de Shalimar", réalisé par Bruno Aveillan (2013)


mardi 9 février 2016

CHANGEMENT DE PARAMETRES

Afin d'éviter les commentaires stupides, sous prétexte d'humour et sous couvert d'anonymat, j'ai modifié légèrement les règles en vigueur sur ce blog.

Désormais, vous devrez vous identifier pour laisser un commentaire.

En outre, chaque commentaire continuera de passer par une validation par votre serviteur pour m'assurer qu'il rentre dans les critères que je me suis fixé pour en refuser un, à savoir :

1) les insultes (il y en a eu)
2) les incitations à la haine (il y en a eu également)
3) les commentaires renvoyant vers des liens hasardeux, plus connus sous le nom de Spam (il y en a, hélas, énormément, la plupart sont bloqués automatiquement par le système) 
4) et j'ajoute désormais les débilités sans intérêts et autres niaiseries pas drôles comme c'est la tendance depuis plusieurs semaines.

Votre dévoué vous remercie de votre compréhension.


dimanche 7 février 2016

LA RONDE DES FONTAINES D’OPIO

L’an dernier, Carine m’avait vanté la qualité de cette course et de son parcours vallonné à souhait alternant route et sentier.

Cette année, pour la deuxième édition, un déluge ininterrompu s’était invité ce qui n’empêchait pas cent-trente concurrents de prendre le départ (pour deux-cent-dix-sept classés l’an dernier).

Mon objectif premier, outre de découvrir ce parcours, était de faire ma première sortie longue marathon de la saison en totalisant une heure quarante-cinq avec l’échauffement, la course et la récupération.

Dès le départ, certains concurrents tentent d’éviter une grande flaque d’eau, sans vraiment réaliser que quoi qu’il advienne, nous arriverons tous trempés comme des soupes de la tête au pied.

Il a donc fallu remonter tout ce peloton sur les premiers kilomètres routiers et descendant de la course avant de poursuivre en montée sur sentier forestier.

Chaque bosse me semblait plus difficiles les unes que les autres, et je perdais chaque fois quelques longueurs sur le petit groupe dans lequel j’évoluais avant de revenir lorsque le dénivelé s’inversait.

Deux kilomètres avant la ligne d’arrivée, un concurrent m’annonce « la dernière bosse », sans savoir qu’il me donnait par cette indication une motivation inespérée.

Je serrais alors les dents pour m’accrocher au mieux au groupe dans cette ultime difficulté, avant d’accélérer l’allure en haut de la bosse reprenant ainsi plusieurs places.

Il convenait cependant d’être infiniment prudent afin d’éviter une éventuelle chute dans la descente glissante et comprenant nombre d’escaliers alors que je tenais mes lunettes à la main depuis longtemps en raison de la buée sur les carreaux !

Dans le dernier kilomètre, je maintenais ce rythme soutenu pour tenter (sans succès) de rejoindre encore un concurrent et empêcher le suivant de me rejoindre alors que je l’entendais derrière patauger dans les flaques d’eau.

Dans ces conditions météo dantesques, je boucle le parcours difficile de 10,200 kilomètres en 46’43’’ avant de partir aussitôt pour une récupération de dix-neuf minutes précises pour faire le compte.

L’an prochain, sans doute, je pourrais observer sur le parcours les fameuses fontaines de 1906. 


Moi qui court dans le dernier kilomètre
(un peu de narcissisme parfois).
Photo Claude

Le groupe de tête dès le début de la course
Photo Claude



PS : Je me classe 19e sur 98, (130 partants) et 4e de ma catégorie !

mardi 2 février 2016

ECHL'EFANT SILINCHIEUS


Force est de constater que ma notoriété (très relative en réalité, restons modestes), dépasse cette fois les frontières du Rhône.

Après l'occitan, c'est en picard qu'est traduit mon texte grâce au bilinguisme de l'un de mes beaux-frères.

Le texte est disponible sur son sympathique blog HUMEUR ET PLAISIR, en cliquant .

Notons que ce blog est consultable en permanence dans la liste de lien sur le bandeau à droite de ce texte, ainsi que le blog photographique du même auteur que vous trouverez également en cliquant ici.

Merci à toi mon cher beauf.