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dimanche 10 novembre 2013

NICE-CANNES EN EQUIPE

« Courir à Peillon » n’avait pas fait les choses à moitié pour ce 6e marathon Nice-Cannes. Le club le plus convivial de la Côte d’Azur avait fait de cette course son grand rendez-vous automnal et ce n’est pas moins de 21 peillonnais qui se sont retrouvés ce dimanche entre Nice et Cannes sur les différents formats de courses proposés. Quatre ont courus le marathon, un duo, deux relais de six coureurs sans oublier nos indispensables supporters.

Sans conteste, le héros du jour est Sébastien CHEVROLIER.

Sans conteste, le malveillant du jour fut Eole.

Sébastien, pour son deuxième marathon Nice-Cannes sous les couleurs peillonnaises, après un brillant chrono de 3 heures 16 en 2012, transforme largement l’essai cette année en passant sous la barre mythique des 3 heures, couvrant la distance en 2 heures 54 (classé 74e sur 6912) !

Quant aux souffles célestes, ils ne se contentèrent pas d’une simple présence sympathique, mais troublèrent en véritables bourrasques la progression des coureurs.

Je ne participais qu’au relais, le 6e et dernier de l’équipe à porter nos couleurs, j’ai vu des tables de ravitaillements se vider de leur contenu par le vent. Avec la sensation de courir à l’arrêt, la tête en avant pour mieux avancer, je pensais aux coureurs à mes côtés qui luttaient avec plus de 36 kilomètres derrière eux, tandis que je me contentais de 6 petits kilomètres.

Puis quelques gouttes de pluie ont fait leur apparition, pour clore la matinée en apothéose !

Forcément, cette météo n’a pas favorisé les chronomètres, mais l’exploit de notre ami Sébastien, les honorables performances des 3 autres marathoniens vert et blanc (Jean-Claude 3 h 43’, Stéphanie 4 h 29’, Marie-Josée  4 h 54’), et le sentiment de chaque relayeur d’avoir fait le maximum (les deux équipes se classent 6e et 18e sur 392 en respectivement 2 h 41’ et 3 h 05’), méritaient bien un réconfort autour d’une table de restaurant.


Pour ma part, mon temps de course (malgré le Mistral) et la disparition d’une vilaine douleur « post 100 km » ont fait de moi un coureur heureux.


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